La Transalpine est plus quune priorité, cest une nécessité.
Dominique Perben, ministre des Transports, de l'Equipement, du Tourisme et de la Mer, a signé le 19 mars un protocole d'intention de financement de 4,4 milliards d'euros concernant la 1ère phase de réalisation des accès français au tunnel international Lyon-Turin, dont la mise en service est prévue autour de 2020.
Ce protocole a également été signé par les présidents de Réseau Ferré de France, du conseil régional Rhône-Alpes, des conseils généraux de l’Isère, de la Savoie, de la Haute-Savoie et du Rhône, du Grand Lyon, des communautés d’agglomération d’Annecy, de Chambéry, de Grenoble, de la communauté de communes du Lac du Bourget, et les maires de Chambéry, Grenoble et Annecy.
D’ici une vingtaine d’années, si le mode ferroviaire n’est pas encouragé par la réalisation d’une nouvelle liaison, près d’un million de poids lourds supplémentaire transiterait chaque année par la région Rhône-Alpes et les vallées alpines. La construction d’une nouvelle ligne ferroviaire est une réponse à ce défi tant économique qu’environnemental.
La Transalpine permettra d’acheminer, entre Lyon et Turin, 40 millions de tonnes de marchandises par an et 7 millions de voyageurs.
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